C'était ma fête il y a une semaine... je n'ai pas proposé de faire de souper entre amis. Je ne sais pas qui j'aurais invité. J'ai des amis, beaucoup de gens que j'apprécie, mais je n'ai pas cette facilité sociale dans l'intimité, que je semble avoir dans mon travail. Je ne sors pas le jeudi soir pour l'apéro avec ma gang de filles. Je n'ai pas d'amies pour faire des soupers filles. Quand c'est ma fête, je lis ma page facebook et je suis émue, seule dans mon salon. Oui j'ai une vie bien remplie, mais je crois que j'ai manqué une porte il y a longtemps. Celle où l'on apprend à faire assez confiance aux autres pour les laisser nous approcher.
J'ai recommencé à écrire... je vais surement partager quelques morceaux dans les prochaines semaines.
Pensées, reflets d'âmes emprisonnées entre l'ici et l'au-delà, murmures captés dans les égrégores anciens et nouveaux. Mots. Je marche sur le mince fil entre l'ombre et la lumière. Lumière éblouissante dans vos ténèbres. Ombre dans le jour éclatant. Je suis celle qui écoute les murmures du vent et les voix qui hurlent dans la tempête. Celle, qui des larmes, fabrique des colliers de mots et les raconte. Je suis celle qui apprend et s'inspire des êtres dont elle croise la route.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire