J'ai pris du retard. C'est tout ce que je peux en dire. Je me rends compte que lorsque je ne suis pas certaine de la direction d'une histoire, je tourne autour du pot au lieu d'aller direct au point. Je n'ai toujours pas écrit la scène du meurtre et j'ai changé de mobile au moins 3 fois. Mon inspecteur parle au "je" et j'ai inventé une 20aine de personnages accessoires, complètement inutiles, sauf que pour le contexte historique c'est pertinent.
Ah oui et comme j'ai peur de me perdre dans mon histoire, je n'ose pas laisser en plan ce que j'ai déjà écrit pour aller écrire cette fameuse scène de meurtre.
Alors, qu'est-ce que je fais, avant de mourir d'ennui dans un complot aussi évident que le soleil en plein jour?
Je continue d'écrire. C'est tout ce qu'il y a à faire. Écrire, écrire, écrire.
Pour suivre mon compte de mots, j'ai inséré, dans la colonne de droite du blogue, une image qui se met à jour en même temps que je mets à jour mon compte de mots sur mon profil nanowrimo.
Avec respect!
A.
Pensées, reflets d'âmes emprisonnées entre l'ici et l'au-delà, murmures captés dans les égrégores anciens et nouveaux. Mots. Je marche sur le mince fil entre l'ombre et la lumière. Lumière éblouissante dans vos ténèbres. Ombre dans le jour éclatant. Je suis celle qui écoute les murmures du vent et les voix qui hurlent dans la tempête. Celle, qui des larmes, fabrique des colliers de mots et les raconte. Je suis celle qui apprend et s'inspire des êtres dont elle croise la route.
mardi 13 novembre 2012
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